Carey, Emile (2024). Inaugurer une exposition en galerie universitaire, à l’intersection d’une performance clownesque et de l’art de la performance : analyse d’un mot de bienvenue raté. Mémoire. Gatineau, Université du Québec en Outaouais, École des arts et cultures, 62 p.
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Résumé
L’art clownesque et sa pratique ont profondément évolué depuis le milieu du 20e siècle. L’artiste clown passe du traditionnel « clown de cirque » vers un « nouveau clown ». À cette époque, en France, l’art clownesque commence à susciter l’intérêt de différents pédagogues et trouve sa place au sein du répertoire théâtral physique. En effet, lors d’une performance clownesque, l’acteur entre dans un état qui envahit sa corporalité ; il devient risible, ridicule, et démontre une sensibilité singulière dans son rapport avec le public. Bien conscients de cette spontanéité particulière, des pédagogues tels que Jacques Lecoq, Philippe Gaulier et Michel Dallaire tentent d’encadrer le jeu clownesque grâce à une écriture performative distinctive où la notion de raté est prépondérante. Écrite par un praticien issu de cette lignée de pédagogues clownesques, cette recherche propose d’examiner comment sa propre pratique du clown s’est inscrite dans un contexte particulier, à savoir celui de l’inauguration d’une exposition présentée dans une galerie d’art universitaire. Plus précisément, elle cherche à comprendre en quoi il était inévitable que le clown rate son mot de bienvenue.
Type de document: | Thèse (Mémoire) |
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Directeur de mémoire/thèse: | Bélair Clément, Sophie |
Mots-clés libres: | Art clownesque; Mot de bienvenue; Raté; État de clown; Rite institutionnel d’inauguration |
Départements et école, unités de recherche et services: | École des arts et cultures |
Date de dépôt: | 22 août 2024 17:47 |
Dernière modification: | 22 août 2024 17:47 |
URI: | https://di.uqo.ca/id/eprint/1661 |
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